Je ne suis pas un linguiste. Trois pièces ont marqué la saison théâtrale S Y N O P S I S « Klem Ellil » est une comédie-spectacle qui concilie entre la recherche esthétique et la volonté d’atteindre le plus grand cercle de spectateurs, dans un style plus « populaire », peut-être, mais sans faire de concession. Mais vous ne pouvez tout de même pas cacher votre appartenance à la gauche pointant du doigt le poster de Lénine accroché au mur à côté de son bureau, NDLR …. Monstranum’s, dernière création de Ezzeddine Guenoun mise en scène et Leïla Toubel texte , se focalise sur l’obsession du pouvoir à travers une galerie de personnages, skotchés à leurs sièges et à leurs privilèges acquis sous l’ancien régime. Lire l’article original sur La Presse.

Des jeunes pro-Trump se moquent d’un vétéran amérindien et suscitent l’indignation. Page 1 sur 1. Sortie après les premières élections libres du pays, c’était le moment pour Jebali de parler de cette frange de zéro virgule. Il y a ceux qui la maitrisent et il y a des tricheurs. Ils sont trop réalistes pour moi.

Tunisie – Taoufik Jebali reprend Klem Ellil

Trois pièces ont marqué la saison théâtrale Toutes ces pièces évoquent, à leur manière, la révolution et la période post-révolutionnaire. Certes, ces pièces n’ont pas toutes créé l’unanimité mais ont suscité à coup sûr eklil.

Monstranum’s, dernière création de Ezzeddine Guenoun mise en scène et Leïla Toubel textese focalise sur l’obsession du pouvoir à travers une galerie de personnages, skotchés à leurs sièges et à leurs privilèges acquis sous l’ancien régime.

D’où leur souci obsessionnel de se refaire une virginité en s’affichant comme des révolutionnaires de la dernière heure ou en offrant leurs services aux nouveaux détenteurs du pouvoir.

Monstranum’s se démarque par un souffle poétique et nostalgique aux rêves et aspirations qu’avait suscité la révolution.

Lequel souffle se manifeste elllil dans l’épilogue poignant sublimé par la touche lumineuse de Leïla Toubel. Monstranum’s use de la métaphore à travers la qualité de la mise en scène et du jeu des comédiens devenue la marque de fabrique du théâtre El Hamra.

Ecrite par Jalila Baccar ellik mise en scène par Fadhel Jaïbi, la pièce se focalise sur la période post-révolutionnaire marquée par les dérives théocratiques et la confrontation entre deux mondes, deux projets de société: L’atmosphère est sombre, noire, voire, et franchement pessimiste, puisqu’à l’horizon se profile une dictature religieuse, c’est ce que projettent en tout cas les auteurs.

Truffé de rebondissements, la pièce se soucie plus de narration dans un flot de paroles, façon discours direct, assumé nous dit-on, que d’analyse et de métaphore. L’action se déroule, façon suréaliste, dans une morgue où les cadavres sont incarnés par les comédiens. Lire l’article original sur La Presse.

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